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17 décembre 2010 5 17 /12 /décembre /2010 09:09

Comment deux Photographes sous-marins largement reconnus pour la qualité de leurs images veulent vous faire partager leur passion… 

La Photo Sous-marine, livre de Pascal Baril et Phil Simha vient de paraître aux éditions Peason dans la collection  « Zoom sur »

Nous en faisons, état dans notre lettre blog pour différentes raisons :

-        Pascal Baril est un ami du Musée Frédéric Dumas.

-        Cet ouvrage comporte une partie, pour nous passionnés d’histoire, dans les quatorze premières pages sur la photographie sous-marine de Boutan à nos jours et la présentation d’un pionnier en la matière, Claude Rives.

PHSM 1

-        C’est un livre d’une grande valeur pédagogique qui va vous apprendre en cinq chapitres à réaliser de belles photos sous-marines.  Il est surtout illustré d’images superbes qui vous aideront à suivre  ces deux photographes de haut niveau qui vous font ainsi bénéficier de leur savoir et de leur expérience. Il explique que grâce au numérique cette activité culturelle est maintenant accessible à tous.

-        Il est ouvert à toutes les catégories de plongeurs, du néophyte, à celui qui pratique déjà la photo, mais qui désire s’améliorer.

-        Il est accessible  pour la Rando en PMT, mais aussi pour ceux qui tâtent déjà un peu de l’immersion plus profonde.

-        En plus d’une impression de haute qualité, son format compact très lisible, permet de l’avoir avec soi au cours des voyages à but de plongées photographiques. Ce qui permet de le consulter pour chaque question ou problème technique qui se poserait. Il est donc, très pratique pour sa lecture en voyage aérien.

Ses auteurs :

-        Pascal Baril est photographe professionnel depuis 1981 auprès des agences Associeted Press, Inter Presse, Kipa et Corbis Sygma. Voir sa propre agence sur  

                                       www.planète-bleue-images.com


-        Phil Simba, vice Président de Sunfish Productions compte parmi les photographes les plus publiés en Europe. Padi Course Director, il est aussi un consultant très apprécié lors des séminaires professionnels et stages photographiques de tous les niveaux.

« La Photo sous marine »

256 pages est disponible en librairie au prix de 25 €.

PHSM 2

 

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14 décembre 2010 2 14 /12 /décembre /2010 10:57

Nos amis, Anne et Jean Pierre Joncheray nous font savoir que...

Les cahiers archéologiques 2010 viennent de paraître

Notre Musée met en exposition dans la tour Romane des collections de pièces archéologiques.

Frédéric Dumas fut un pionnier dans cette activité culturelle.

Des visiteurs, nombreux, passionnés et pratiquants l’archéologie  subaquatique nous visitent très souvent....

Afin de les tenir au courant nous faisons paraître ci-dessous la fiche des Cahiers 2010, son sommaire et un bon en cas de commande éventuelle à :

Cahiers d’Archéologie Subaquatique

1637, Avenue de Lattre de Tassigny

83600 FREJUSJonjon 1

Jonjon 2

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1 décembre 2010 3 01 /12 /décembre /2010 13:10

Voyages et Loisirs Culturels.

Courant octobre ayant été retenu par VLC, je me suis produit salle Daudet pour présenter ma conférence «  Les Épaves de Porquerolles ».Jaquette Porquerolles

Les dirigeants de cette association Six fournaise, qui regroupe mille membres, très heureux de découvrir ainsi le monde sous-marin me demandèrent s’il ne serait pas possible d’organiser une visite du Musée Frédéric Dumas dont je venais de faire état, lors des conversations faisant suite à mes projections.

Dans un premier temps, ils sollicitèrent un rendez-vous sur place avec notre président afin d’opérer ensemble une reconnaissance préalable des lieux.

Ce que nous avons fait hier en guidant dans la Tour Romane et dans la salle Maurice Fargues, le président de VLC Roland Bresson accompagné de Michel Lochot.

Comme à l’ordinaire, j’ai réalisé quelques courtes synthèses historiques sur les pièces de nos collections. Daniel, lui plus en hauteur, a défini la synergie qui pouvait être mise en place lors de cette rencontre.

Fort satisfait de cette première visite, notre président leur a proposé la possibilité de recevoir cinquante de leurs membres pendant le premier trimestre 2011. Visite suivie d’une présentation et d’un film dans l’auditorium de la médiathèque.

VLC musée

De G à D, Michel Lochot, Le Président Daniel Alsters, Le Président de VLC Roland Bresson

Tout ceci devant être orchestré de part et d’autre de nos associations, nous prévoyons une séance de travail début janvier.

Notre président m’a chargé dans un premier temps de monter un dossier de présentation.

Il est, par ailleurs, très satisfait des résultats de ce premier contact que j’avais établi préalablement et soumis comme à l’ordinaire à son approbation, dans le cadre de ma fonction aux relations extérieures.

Ce qui pourrait permettre par la suite des échanges et programmes en commun sur ce littoral ouest varois chargé d’histoire que nous partageons.

Voir ci dessous le Flyer de présentation de VLC.

VLC

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28 novembre 2010 7 28 /11 /novembre /2010 10:28

Un Scaphandrier de Galerne est parti…

Les années passent et nos générations commencent à voir partir nombre d’entre nous pour leur dernière plongée.

Jean Méalin dit « Barbiquet », » je ne l’ai connu que peu de temps. J’en conserve cependant le souvenir d’un bon copain, toujours heureux, même et surtout au cours des problèmes qui se posaient à nous dans les débuts de notre profession.

Alors que nous n’avions rien ou pas grand-chose pour mener à bien nos travaux, malgré cela, il fallait faire avec et beaucoup. Donc avoir un moral d’acier. Ce qui était le cas de tous les scaphandriers de la SGTMF qui venait de devenir Sogétram quand il est arrivé en 1956.Barbiquet 1

Il a connu les premiers chantiers en Afrique et Galerne, envoyant ses plongeurs aux quatre coins de la planète, il est passé du climat tropical à celui du Canada.

Malgré cette différence brutale de climat, il s’est plu dans ce grand pays et à décider d’y faire et, hélas, d’y finir sa vie.

Dans « Scaphandriers II » l’ouvrage que nous avons publié sur nos chantiers internationaux, il est cité dans un article de Gaby Farmer Denis. Article bien vivant où il traduit sa satisfaction, et son plaisir de vivre au Canada, malgré les difficultés des travaux dans ce rude pays.

Son ami Pierre nous a avisé de sa disparition par un courriel bien triste ci-dessous :

 

Notre ami nous a quittés,nous avons passé samedi dernier avec lui quelques heures, il a fait l'effort pour s'asseoir avec nous,il n'avait pas perdu son sens de l'humour,il était fatigué, mais conscient. Hier il nous a quitté aux environs de quinze heures ce jeudi 18 Novembre. Il est parti serein. Il laissera certainement un grand vide parmi ses amis, sa bonne humeur et son sens de l'humour ainsi que ses reparties et certainement ses  gauloiseries, que nous retiendrons de lui.              

Dure journée...     

Pierre.

 

Barbiquet 2Les amis des Scaph’50, notre association des Pionniers de la plongée professionnelle feront paraître le texte ci-dessous dans notre prochain bulletin interne « Scaph’ Infos »

 

Chers amis

Il s’appelait Jean MEALIN, mais dans le domaine de la plongée professionnelle, tant au Canada qu’en France, on le surnommait BARBIQUET, titre affectueux que nous lui avions donné. 

Il nous a quittés aujourd’hui, vaincu par la maladie, après une vie bien remplie avec générosité et droiture. Les religions nous annoncent, sans en apporter la preuve, qu’il y a au-delà le merveilleux, sous la forme d’un Nirvana ou d’un Paradis. Nous sommes tentés de les croire et dans cette hypothèse, nous souhaitons à BARBIQUET qu’il y trouve sa place parmi, entre autres, d’autres copains plongeurs qui l’ont précédé.

Un auteur Français a dit “On est mort que, lorsque l’on est oublié” . Alors, je te le dis, très cher Amis BARBIQUET, que tu ne seras pas oublié. Tu resteras dans nos anecdotes, dans nos rires et dans notre pensée amicale.

Adieu très cher Ami, nous souhaitons que ce petit mot aide ta femme NICK et tes enfants à mieux supporter cette pénible épreuve. 

Adieu Ami, notre fraternelle amitié t’accompagne.

Les copains de SCAPH 50

 

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23 novembre 2010 2 23 /11 /novembre /2010 12:01

Un pionnier, l’un de nos membres, mon ami Henri Raibaldi

dit « Riton de Calvi »

Un aventurier, un navigateur, un instructeur de plongée en Corse, un archéologue aux côtés de Frédéric Dumas, un scaphandrier de la Comex, le magazine La Plongée ne pouvait trouver un meilleur exemple pour ses pages sur des hommes de caractère.

Il a, tout au long de son existence, parcouru les mers, à la voile tout d’abord, pour aller au fond ensuite comme il l’explique si bien dans son ouvrage.

Comme d’autres avant lui, mais du même niveau, on le découvre dans les pages de ce beau magazine « La plongée » où sont relatées ses aventures par un journaliste bien sympathique et passionné de nos histoires, Franck Lucien.

Je laisse la place à cet article de plusieurs volets.

La PL 1

La PL 2

 

La PL 3

 « On a touché le fond » d’Henri RAIBALDI…

Un livre de souvenirs et d’anecdotes d’un plongeur pro, mais pas seulement…

Au travers de ce récit d’une vie mouvementée, Henri RAIBALDI nous fait revivre une époque passée, révolue. L’époque des pionniers de la plongée. Il nous fait revivre les premières plongées expérimentales dans le but « d’amener les plongeurs très profond, le plus confortablement possible, en sécurité maximum et sans séquelle.On a touché le fond

L’aventure qu’Henri RAIBALDI retrace dans ce livre, c’est aussi une réelle aventure humaine d’équipe de « copains » plongeurs avec des moments forts où il sauve d’une mort certaine ses coéquipiers et amis plongeurs. Et puis ce livre nous fait aussi voyager à travers le monde. Un livre passionnant d’histoires vécues et d’une époque que les jeunes plongeurs pro d’aujourd’hui ne connaîtront pas, mais qui fait la fierté des anciens.

Pour se procurer « On a touché le fond » prix : 20 € + 4, port= 24 € par chèque à :  

Henri RAIBALDI - quartier Saint-Blaise - 83830 CALLAS - tel. : 04.94.76.68.00

Dédicace personnalisée sur demande

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16 novembre 2010 2 16 /11 /novembre /2010 13:02

  Mes premières palmes… peu académiques !

Un peu de souvenirs de la part de l'ancien Scaph’.

Dès l'âge de 7 ans, mes parents décidèrent que je devais apprendre à nager.

Je fus donc confié à un maître nageur, suspendu dans un harnais sous une potence, juste immergé et mis en devoir, énergiquement, de pratiquer le mouvement de la grenouille.

Cela allait durer 7 années sans aucune amélioration. Sorti du harnais je me noyais.

À 14 ans, j'ai eu la chance de rencontrer un professeur de gymnastique qui se chargeait des cas difficiles. Nous étions trois dans le petit bassin de la piscine Ledru-rollin. Payant d'exemplarité, ce qui n'avait pas été le cas auparavant, il se mit à nos côtés  et s'allongeant sur l'eau d'une légère poussée des pieds il fit ce qu'il appelait « une coulée »

Appuyant sa démonstration d'un :

-       Je l'ai fait, vous pouvez en faire autantPMF 1

C'était simple, mais convaincant. Devant une telle évidence, je mis en pratique le principe d'Archimède. Ce qui me réussit si bien que, deux mois après, j'achetais ma première paire de palme, des Champions, dans un magasin d’article sportifs, voisin.

L'année suivante, j'étais en Corse pour y faire de la chasse sous-marine.

Cela allait me passionner la vie entière, jusqu'à la fin de mes activités subaquatiques. Entre-temps, de plus en plus adepte du milieu sous-marin, j'allais devenir scaphandrier, c’est-à-dire plongeur professionnel en 1953.Belle époque ! J'avais 20 ans !

Mais avec quel matériel pouvais-je me livrer à des exploits cynégétiques.

Il y en avait peu. De nombreux inventeurs, se prenaient pour Léonard de Vinci, et ne réussissaient pas mieux, que ce soit disant grand homme, pour pénétrer les profondeurs. Ces Géotrouvetouts nous auraient envoyés au fond de la mer avec bien peu de chance de

refaire surface. L'un d'entre eux, qui proposait un tuyau de jardin de 10 mètres, fixé sur un bout de liège en surface, ne clamait-il pas :

-       Plongez à 20.000 lieux sous les mers avec mon tuyauscaph', vous n'en reviendrez pas !

Une vérité criante ! En voilà un, je le souligne volontiers, qui ne trompait pas son monde.

Il avait d'ailleurs copié cette idée sur les manuscrits de Léonard de Vinci, cet italien célèbre, cité plus haut, protégé par François 1er qui lui demandait de lui fabriquer des filtres d'amour. Domaine dans lequel ce grand roi, amateur du beau sexe, se distinguait pompeusement.

Les filtres en question ne prouvaient pas plus leur efficacité que le tuyau que Léonard fixait sur la tête du plongeur. Il faudra attendre la pilule bleue actuelle pour, paraît t-il, avoir des résultats probants. Encore heureux que l'on n'en attribue pas les vertus à notre Léonard.

On a bien dit de lui qu'il avait inventé les palmes de plongée, ce qui est faux ! Archi faux ! Il a inventé des gants natatoires qui n'ont servi à personne et des griffes au bout des doigts de pied. On est loin de la nage delphinoïde en vogue actuellement. Je m'éloigne...

En matière de nage je venais donc de débuter avec les palmes triangulaires de marque Champion bleues.

PMF 2

Elles furent suivies des palmes Propuls vertes dites savonnettes. Non à cause de leur couleur pouvant s'apparenter à celle d'un savon d'une grande marque de l'époque, mais tout simplement parce qu'elles vous tenaient mal aux pieds. Leur forme aérodynamique certes, vous procurait un avancement natatoire certain, mais vous faisait valser les chevilles dans tous les sens.

 PMF 3

Ensuite, exit les Propuls, devant l'arrivée des Cressi-Rondine. Là, c'était tout autre chose. Très chaussante, enfermant bien le début de la cheville, elle avait en plus cet angle d'attaque qui sera largement retenu par la suite. Mais là, c'étaient les premières.

PMF 4

D’ailleurs, je vois que les palmes Cressi actuelles continuent à ressembler furieusement à leurs ancêtres. Par la suite, sont venues des palmes modernes. Surtout, les jet-fins à tuyères de mon ami Georges Beuchat. Il disait qu'elles étaient, à juste titre

-       Souvent copiées, jamais égalées...

PMF 5

                                 Palmes Jet-Fins de mon ami Georges Beuchat

Dans ces temps antiques, nous avions aussi à trouver un masque. Pour la plupart d’entre nous, ce fut le Squale de l'ami Paul Dubois. Il le fabriquait en série à Sanary depuis le dépôt de son brevet en décembre 1944. C'était le meilleur et le mieux adapté, il l'est encore.

PMF 6

Pour le tuba,  chacun y allait de son choix finissant toujours sur le modèle courant de l'embout sur un tube de plastique recourbé aux deux bouts. Certains étaient pourvus, à leur extrémité d'une cage en caoutchouc, enfermant une balle de ping-pong faisant office de valve de fermeture. C'était encombrant, peu efficace, mais un excellent argument de vente.

PMF 7

Enfin pour pratiquer la chasse sous-marine, il fallait une arbalète. Le choix était vaste, nombre de marques s'étant mis en tête de produire le fin du fin en la matière. Le temps des débuts, dans les années trente du lance-pierres sous-marin tirant des tringles à rideaux ou des baleines de parapluie était largement dépassé.

Mon premier engin fut une arbalète Tarzan, c’est-à-dire Beuchat. Lui, un vrai chasseur, il avait fait au mieux et au plus simple.

PMF 8

Ensuite vint l'arbalète que j'ai longtemps utilisée, alors que je pratiquais des prélèvements ichtyologiques autour de Porquerolles. C'était encore la marque Cressi qui me l'a fournie.

Sa conception en était pour le moins originale. Il s'agissait d'un long fut en aluminium vert ou bleu dans lequel il y avait deux sandows en caoutchouc demi-circulaires. La flèche était enfoncée au milieu jusqu'à l'extrémité ou un cran la retenait.

Une simple tige aboutissant à la détente la verrouillait.

PMF 9

C'était souple, silencieux et très précis. Ce n'était pas très puissant.

Il en fut de même avec un Douglas Baby, de belle facture,  en aluminium métallisé bleu. Celui-là était néanmoins, un peu bruyant à cause de son ressort.

PMF 10

Avec toutes ces armes, il fallait s’approcher assez prêt de la cible retenue, mais cela, je savais le faire. Ce qui condamna la gente poissonnière à être souvent invitée à notre table.

Mais attention, jamais plus que ce dont nous avions besoin pour passer un bon moment avec quelques paires d’amis.

*Le matériel décrit ci-dessus, fait partie des collections du Musée Frédéric Dumas.

Pour que vous ne restiez par sur votre faim, voir ci dessous comment il était possible, même avec ce matériel ancien, de combler la nôtre...

PMF 11

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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 11:24

Le Jeudi 4 novembre, l’ancienne école, dite des Picotières, devient le groupe scolaire Jean-Michel Cousteau.

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Jean-Michel Cousteau, spécialement présent, accompagné de Ferdinand Bernhard, Maire de Sanary et de Nathalie Bicais, chef de cabinet,  fait le tour des classes.

Ensuite débute la cérémonie. Le Maire, devant un parterre d'enfants très sages,  évoque l'aura de Jean-Michel Cousteau.

ec 3

C’est ainsi qu’il va leur dire :

-        Il sera votre ambassadeur pour faire entendre la nécessité de préserver nos océans.

Puis s'adressant à Jean-Michel Cousteau:

-        Vous avez devant vous la première brigade des gendarmes du monde.

Après l'avoir chaleureusement remercié il va lui remettre la médaille de la ville de Sanary :

-         Symbole de reconnaissance, d'amitié et de responsabilité....

Terminant son discours s’adressant aux enfants:

-        Je voulais vous dire que Jean-Michel Cousteau a été à l'école de Portissol, il a été un élève parmi d'autres .

 

L'assistance qui applaudi est composée de nombreux élus, du commissaire Malléa, des directrices d'écoles, de Daniels Alsters, président du musée Dumas et de Madame Le Goff, représentante de l'inspecteur d'Académie. Cette dernière insiste évoquant la solidité du projet tout en se réjouissant de ce baptême:

-        Protéger les océans c'est se protéger soi-même. Cette devise de Jean-Michel Cousteau, nous la partageons totalement à l'éducation nationale où nous voulons sensibiliser les enfants à l'environnement et à la citoyenneté.

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De G à D... JM. Cousteau, Ferdinand Bernhard Maire de Sanary, Daniels Alsters Président du Musée Frédéric Dumas, Maguy Augier-Bompan adjointe au tourisme en charge du Musée.

Quant à Jean-Michel Cousteau, il parla avec beaucoup d'émotion, rappelant qu'il avait grandi à Sanary :

-        C'est ici que j'ai eu le privilège de mettre mon premier masque et mes palmes aux côtés de Frédéric Dumas, à Portissol. C'est à vous d'être les ambassadeurs de l'environnement, de porter le message auprès de tous. Il n'y a qu'un système aquatique. Sans eau, il n'y a pas de vie.

En concluant qu’il était extrêmement honoré de voir que cette école portera mon nom. La plaque est ensuite dévoilée.

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Dans le courant de l'après-midi, les enfants des écoles élémentaires de la Vernette, Saint-Jean et Jean-Michel Cousteau étaient conviés à voir un dvd de ce dernier au théâtre Galli, suivi d'une discussion ouverte puis d'un goûter.

Il va leur expliquer sa vie dédiée à la préservation de l'environnement, à la plongée et à la protection des océans; A la question bien souvent posée, « quelle a été sa plus belle plongée », il répond :

-         C’est toujours la prochaine.

Durant cette rencontre enrichissante, il évoqua sa soif constante d'aventure, de découverte et son envie de transmettre.  Une chance, ce jour-là, pour les écoliers de Sanary.

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 Mme Nathalie Bicais remet des dessins d'écoliers à JM. Cousteau admiratif.

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         À la fin de la cérémonie, Daniels Alsters, notre Président evoque avec JM. Cousteau, notre Président d'Honneur, la vie actuelle du Musée

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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 08:51

HDS (Historical Diving Society) USA en visite au Musée Frédéric DUMAS

Au cours du Festival mondial de l’Image sous-marine de Marseille, notre Président Daniel Alsters et son collaborateur Bernard Laire ont rencontré une délégation des USA.

Tout d’abord Bryan Spence qui nous avait fait savoir qu’il désirait visiter notre Musée, prénté ci dessous par mon ami, un historien du premier cercle, Philippe Rousseau.

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De G à D, Daniel, Philippe Rousseau, Bryan Spence

Ensuite se sont présentés mes amis Gill et Leslie LEANEY. Leslie est le fondateur de la chaine internationale des HDS. Il est aussi le Président de HDS USA. Nous nous sommes connus, il y a quelques années, lors du colloque international de l’histoire de la Plongée organisé par un autre de mes amis, Lucien CABROLIÉ, le conservateur du Musée du scaphandre à Espalion.

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De G à D, Gill et Leslie rencontrent Daniel sur notre stand

Malgré la pluie battante Daniel et Bernard les ont pris en charge à Marseille pour passer avec eux  la matinée du dimanche, dans notre Musée.

Ils étaient tous les trois surtout intéressés par le matériel ancien exposé dans la salle Maurice Fargues comme vous pouvez le voir ci-dessous.

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De G à D, Bryan Spence, Leslie et Gill Découvrent la salle Maurice Fargues

Ils nous ont fait savoir le plaisir et l’intérêt qu’ils portaient à cette visite

Sans oublier le dévouement de notre Président qui les a pris en charge à Marseille et retour.

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Daniel commente la visite

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Devant des pièces historiques...

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L'ancien matériel photographique

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Enfin, devant le Scaphandre du Chevaliet de Beauve qui a toujours autant de succès.

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6 novembre 2010 6 06 /11 /novembre /2010 14:39

Mes amis, Anne et Jean Pierre Joncheray ont offert au Musée la collection complète de leurs 22 Fascicules des "Épaves de Provence" il est donc normal que nous présentions ici, dans notre série Livres et Parutions, leur dernier ouvrage, celui du naufrage et du renflouement d'une épave chargée d'histoire.

Ce livre a attendu plus de trente ans… mais cela en valait la peine !

Voici l’histoire de cette mystérieuse épave, relatée par mon ami Jean Pierre Joncheray.

L’aventure du sous-marin Alose, un siècle d’histoire

Couv alose

Plus de 250 photographies couleurs ou illustrations d’époque, 160 pages,

Une vision incroyable : une épave de sous-marin plantée droit dans le sable par 53 mètres de profondeur ! Sous un amoncellement de cordes et de filets, une coque fuselée, une étrave qui pointe vers la surface, et cela est recouvert d'un peuplement marin extraordinaire…

Des sous-marins, il y en a pas mal, engloutis au large des côtes méditerranéennes, leur liste figure dans l’ouvrage, mais celui-ci n’était pas n’importe lequel ! Une vraie pièce de musée, un ancêtre plus que centenaire, un jalon impressionnant de la conquête des abysses, et qui vient d’être récemment classé monument historique.

Et voici donc le début d’une aventure passionnante l’auteur tour à tour « inventeur » de l’épave par une froide matinée d’octobre, puis chercheur, rat de bibliothèque, historien maritime et, par la force des choses et l’enchaînement des circonstance, initiateur du sauvetage de la vieille coque, ce qui sera planifié par son copain Henri Delauze, président fondateur de la prestigieuse entreprise COMEX.

Une chance fabuleuse a voulu que la fille du Commandant Le Prieur, et le pilote Duval lui-même, tous deux responsables de l’engloutissement de l’Alose, lui confient des photographies d’archives d’une rare valeur : ce livre relate, document inédits à l’appui, les derniers instants du vieux submersible…

On trouvera dans « L’aventure du sous-marin Alose, un siècle d’histoire » aussi bien de la plongée, au temps des bouées Fenzy et des détendeurs Mistral, que de l’histoire maritime vieille d’un peu plus de cent ans.

 

Vente de « L’Aventure du sous-marin Alose... » :

20 €,  frais de timbre et enveloppe cartonnée 5 € en plus, soit 25 €.

Commande par Chèque de 25 € à :

Cahiers d’Archéologie subaquatique

1637, Avenue De Lattre de Tassigny

83600 FREJUS

Dédicace personnalisée sur demande.

alose blog

L'Alose, tel qu'il fut découvert par Jean Pierre, vu par les crayons de ma sirène....

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5 novembre 2010 5 05 /11 /novembre /2010 08:32

Le Président du Musée Dumas au Festival mondial de l'Image sous marine.

Ainsi que je vous l'ai annoncé dans la page précédente Daniel Alsters,  Président de l'association du Musée Frédéric Dumas,  assisté de notre photographe attitré Bernard Laire, ont tenu notre stand pendant trois jours, le vendredi, le samedi et le dimanche. Ils avaient été précédé par Hervé Monjoin et Didier Georges qui eux, après avoir installé le stand, l'avaient tenu le mercredi et le jeudi.

La météo très défavorable, les mouvements sociaux n'avaient pas favorisés les visiteurs peu nombreux pendant ces deux premières journées. Heureusement, il n'en fut pas de même pour la suite comme vous allez le voir. 

Le but était de faire connaître les changements au sein du Musée, nos actions en cours, en fait reprendre contact avec  des personnalités amies, des clubs et associations présentes dans les nombreux stands.

Ce qui fut fait comme on va le voir sur les photographies ci dessous :

Les stands

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Avec notre ami Bébert FALCO 

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 de G. à D...Daniel MERCIER, Michel BOURHIS président du CACX, leClub des anciens de la Comex, Daniel...

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Notre grand ami Christian PÉTRON

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 De G à D...André VEDRINES, Henri COSQUER, Daniel...

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Daniel retrouve Mme Florence RICHIEZ du DRASSM

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À gauche, notre Président d'Honneur  Jean Michel COUSTEAUfest 7

Notre ami KLIMOFF à droite et Daniel sur le stand de la Russie.

Avec les zakouskys, le caviar et la vodka...   

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De G à D, Daniel, Dominique SERAFINI, Henri Germain DELAUZE 

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Le stand de HDSF 

fest 10Une dédicace sur notre stand pour un membre de HDSF 

fest 11

  Avec Patrick PONOT le secrétaire de HDSF

fest 12

 

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Musée Frédéric Dumas

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  • Cette Lettre du Musée Frédéric DUMAS prend la suite de celle éditée, la première fois, imprimée, en 1995.
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