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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 16:48

Dans les premières années du Musée, j’avais fais appel à sa compétence et surtout images sous-marines, véritables œuvres d’art.

Et pour ceux très rares qui ne le connaissent pas voici une courte Bio :

Henri Eskenazi est né en 1953. Chirurgien-Dentiste de formation, il se passionne depuis de nombreuses années à la photographie sous-marine qu’il enseigne. Le photojournalisme lui a permis de réaliser plus de 500 000 clichés dans près de 140 pays différents : infatigable globe-trotter toujours près à boucler ses valises, il se « shoote » au décalage horaire et se grise d’inconnu.0 esk

Entre deux escapades, Henri Eskenazi pose ses sacs à Marseille, sa ville natale. C’est d’ailleurs dans le bleu des calanques qu’il s’est découvert cette passion pour l’univers subaquatique. Depuis, son CV de chasseur d’images s’est bien étoffé : participation à de nombreux concours en tant que compétiteur puis juré, expositions, conférences, publications de reportages dans divers magazines français ou étrangers, vice-président du Festival Mondial de l’Image Sous-Marine et huit livres…

« Autrefois, les grands voyageurs prenaient des notes, réalisaient des croquis, écrivaient des mémoires. Côtoyant, à terre ou au bord des océans, celles et ceux qui m’ont appris à aimer la mer, j’ai choisi la photographie pour m’exprimer ». Un excellent moyen d’assouvir sa curiosité naturelle. Sur ses chemins de voyages, terrestres et sous-marins, il rencontre les gens, la faune, la flore, immortalise les paysages, partageant ses connaissances avec chaleur et enthousiasme.

Amoureux de la nature, Henri Eskenazi relate, sans se lasser, ce monde sous-marin à la fois riche et secret, généreux et mystérieux, qui « jamais ne le déçoit ».

www.henrieskenazi.fr/net/com

 

Il nous fait connaître maintenant ses ouvrages que vous allez trouver ci-dessous, dont le tout dernier : (35 € aux editions CRES à Marseille) Internet et Librairies1 esk

 

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21 juillet 2013 7 21 /07 /juillet /2013 11:38

Hier après midi, des orages sur les Cévennes.

Ce qui m'a laissé le temps de litre "Le Grand Secret", que vient de m’expédier son auteur mon ami Jean-Luc Fontaine.

C’est son premier et pour un coup d’essai, c’est bien tourné, car, une fois le nez dedans je n'en suis sorti qu'à la dernière page.alf 1

Le début est attachant avec quelques pages historiques, l'ambiance et la découverte de ces Calanques où nous découvrons,  comme sur son blog, des tas de détails historiques.alf 2

Ensuite, on se promène, avec plaisir, et même on participe, on approche ces lieux comme on peut le voir sur les images ci-dessous issues de son site.

Où cela devient sérieux, c'est par la suite, mais je ne vais pas vous raconter ce qu’il en est et qui m’a dévoré pendant deux heures.

Car cela va aller crescendo et l'inquiétude du lecteur va croître.

On s’attend  au pire, avec la belle Cristiane en train de se morfondre en surface, là-bas dans les îles.alf 3

Dont celle-ci, l’île Maîre, que je connais si bien pour y avoir fait ma première plongée en 1953.alf 4

Revenons vite, nous sommes en plein « Grand Secret »

On se demande comment tout cela va finir…et l'on n'est pas déçu.

Et les archéologues distinguées qui vont faire une découverte vingt ans après, que voilà une belle chute.alf 5

Je l'ai lu un peu vite, pressé d’en finir… je le reprendrais.

En tout cas bravo, et si je puis me permettre de  donner un conseil à ce nouvel auteur, je lui dirais alors qu’il contemple son domaine :

continue à te promener dans ces lieux mythiques où tu trouves si bien l’inspiration.alf 6

Et si vous voulez en savoir plus allez donc faire un tour sur son blog, où vous passerez de bons moments entre les randos, les plongées et le meilleur pour la fin, ses recettes de cuisine.

Donc rendez vous sur : http://aioli.over-blog.com

 

 

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30 avril 2013 2 30 /04 /avril /2013 14:21

À l’occasion donc, du centenaire de la naissance de Frédéric Dumas, je viens de recevoir par mail un ouvrage sur ce grand pionnier relatant la première partie de son existence d’après le titre affiché.

Édité par les Presses du Midi à Toulon,  il n’est pas écrit par  n’importe qui, mais par Juliette Dumas-Tilquin, l’une de ses filles.adum 1

Il est intitulé « Une jeunesse qui menaçait de durer…Frédéric Dumas »

On note le concours de notre ami Louis Augusto à qui nous devons déjà « Mistral détendeur de légende »

Alors la jeunesse de Frédéric Dumas… Pourquoi pas !

Ce sera des chapitres ignorés que l’on va découvrir.

Plus tard, j’ai bien connu « Monsieur Dumas » ainsi que nous l’appelions avec respect et admiration,  alors que j’étais plongeur au GERS en 1954/1957. J’ai eu l’honneur et un sacré plaisir de plonger à ses côtés sur de grandes épaves comme l’Artésien, où il y avait quand même 55 M de fond. Aussi pour aller chercher des torpilles d’exercice perdues dans la rade des Vignettes et là, c’était plus profond. Mais avec lui on se sentait à l’aise et en sécurité.

Car, on le suivais dans ses palmes, mais lui avait toujours un regard discret vers son binôme, une attention dont nous étions fiers.

Aussi,  c’est au cours  de  ces seuls et sacrés moments que  l’on pouvait se rendre compte de son aisance de son aquacité. Cousteau ne l’a-t-il pas nommé fort justement « l’Homme poisson »

À côté de cela un monsieur discret, sympathique, toujours proche du plongeur même quand c’était de simples matelots…peut-être, un peu plus avec nous tous, jeunes et passionnés.

Je m’en suis rendu compte quand nous étions en mission à Toulouse pour filmer un schnorkel de sous-marin à l’essai.

Une plongée dangereuse dans un bassin avec un fort courant, une eau turbide, et l’engin qui crachait, dans un effrayant vacarme, des vapeurs de diesel.

Il a fait deux tentatives et devant les risques encourus, il n’a pas voulu que je plonge à mon tour.

C’était cela Monsieur Dumas.

Je pourrais en parler pendant des heures…mais attendons j’y reviendrai certainement dans un autre article de ce blog, après avoir découvert les pages de l'ouvrage mythique ci dessous :adum 2

 

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19 janvier 2013 6 19 /01 /janvier /2013 09:36

Ainsi que notre président l’annonce dans la page précédente, il lui a été offert l’ouvrage « Il y a 50 ans les premières mondiales de la Sogétram » par Georges Koskas vice-président de Scaph’50, l’association des pionniers de la plongée professionnelle fondée il y a vingt ans, qui en est l’éditrice...

Voilà donc ce magnifique livre qui vient de sortir pour l’anniversaire de  la plongée d’une heure à 103 M de Pierre Graves, il y a cinquante ans.

Nous n’allons pas vous raconter cet exploit tout y est écrit, tout y est dit.

Mais nous allons vous en présenter quelques-unes des plus belles pages.

L’ouvrage en comporte 78, couverture cartonnée, papier glacé, Éditions « Une image au hasard »

Si certains veulent l’acquérir, il vous est possible d’en faire la commande auprès de Georges Koskas 108, allé Ronsard 91080 Courcouronnes

Avec chèque de 25 € ( 20 € + 5 € port)

Ouvrons les pages, dont je vous recommande en particulier la dernière de couv’.

Nous étions loin des ordinateurs alors... C’est pourquoi, il y figure les calculs effectués à l’aide d’une machine à calculer Olivetti à manivelle dont seul Georges Koskas connaissait le fonctionnement.

Bonne lecture.

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10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 11:58

Voici une page de l’histoire de la plongée de loisirs et professionnelle, où les pneumatiques sont largement présents.apnm 1

Quel chemin parcouru depuis les pilotes de la dernière guerre dérivant dans leur canot pneumatique de survie, l’un d’entre eux ayant, paraît-il réussi à traverser la Manche pour revenir en Angleterre.

Ensuite et surtout, le coup d’envoi fut donné par  le Dr Alain Bombard . Il faut se souvenir de son exploit vécu pendant ses soixante-cinq jours pour traverser l’Atlantique, à bord de son Zodiac l’Hérétique...apnm 2

Lors de mes débuts, en 1953, dans la plongée professionnelle, j’ai attendu quelques années économisant sous par sous, finissant par réaliser mon rêve avec un Zodiac Mark II équipé d’un moteur Mercury de 25 CV.

J’étais comblé et je le fus longtemps.  

Par la suite j’ai eu nombre de ces pneumatiques si pratiques dans ma profession Mon plus gros engin devait mesurer dans les cinq mètres avec un moteur de 70 CV. Il était nécessaire dans mon entreprise pour travailler souvent dans des temps difficiles. Car si en bas la mer ne bougeait pas trop, lors du retour en surface, il en était autrement.

Mais nous étions sûrs de rentrer au port par n’importe quel temps.

Ce sont sur des Zodiacs Mark III que les plongeurs du CIP Bendor réussissaient dans une tempête d’hiver, la récupération de la chienne « Ciuccarra » apnm 3que l’équipage italien avait abandonné sur l’épave de leur marbrier en train de couler devant l’île des Embiez.apnm 4

Maintenant en lisant ce prestigieux «Pneumatique magazine », » je rêve encore, en découvrant ces magnifiques bêtes de race.

Dont, page 86 le Solemar  37 Océanic un vrai yacht de luxe qui va vous emmener à 37, 5 nœuds avec une autonomie de 400 milles, deux fois l’AR de la Corse…

Vous pouvez, vous aussi, parcourir toutes ces pages en téléchargeant le magazine ainsi qu’indiqué ci-dessous.apnm 5

Et pour finir la page lectures où je suis présent avec mon dernier « Or du Ville de Grasse » Bonne journée…apnm 6

 

 

 

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3 octobre 2012 3 03 /10 /octobre /2012 11:12

L’ouvrage « la Photographie subaquatique, initiation et techniques pour tous » vient de sortir chez mon ami Nicolas Barraqué.

C’est un concentré de conseils, astuces et techniques que vous propose l’auteur Robert Pakiéla assisté de Nicolas Barraqué et Dominique Barray.aph 1

Il va vous être démontré que la photographie sous marine est accessible à tous, car ils sont nombreux ceux qui ont investi dans le matériel nécessaire.

Comme son nom l’indique l’ouvrage s’adresse à un large public y compris et surtout les débutants.

Surtout son point fort est constitué de nombreux exemples afin d’illustrer son contenu. Le lecteur en aura une vision simple mais surtout concrète.

Bientôt votre bible, et pourquoi pas votre livre de chevet qui va vous faire rêver et songer aux images que vous allez réaliser le lendemain, lors de votre plongée matinale sur une épave aux choix, autour des îles de Porquerolles par exemple.

Où alors bien plus loin pour ceux qui rêvent d’images tropicales

Chez « Turtle Prod Edition » / 256 pages / 28€

 

 

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10 septembre 2012 1 10 /09 /septembre /2012 13:15

                            Le développement peut-il être durable ?

Pour le meilleur & pour le pire

Par Henry Augier.aug 1

À l’origine, le « développement durable » est une formule qui prétend concilier la défense de l’environnement, le développement économique et les problèmes sociaux, en établissant une sorte de cercle vertueux entre ces trois piliers de notre cadre de vie. Elle part évidemment d’un bon sentiment, dans la mesure où elle constitue une tentative d’attitude positive face à la problématique de ces trois préoccupations majeures qui gèrent notre vie.

Très vite, le rapprochement de ces deux mots opposés allait montrer toute l’ambiguïté d’un tel paradoxe.

La croissance à outrance, le libre-échange, la mondialisation, l’agriculture intensive, la surexploitation des océans, la délocalisation des entreprises...

Comment le développement peut-il être durable, quand la population mondiale va passer de 7 à 9 milliards d’individus d’ici à 2050 ?

C’est l’ambiguïté de l’association des deux mots « développement durable » et surtout les divers aspects des bienfaits et des dérives d’un tel oxymore qui sont examinés dans cet ouvrage.

Henry Augier signe une étude très documentée, dont les références actuelles servent avec clarté et pertinence son propos. augier 5

Un ouvrage pour tous ceux qui ont à cœur de comprendre les grands enjeux liés,

à la protection de notre planète et de vivre « le sursaut de lucidité » dont a besoin aujourd’hui notre humanité.

Le développement peut-il être durable ? C’est le deuxième ouvrage de cet auteur aux éditions Sang de la Terre, après la publication du Manuel pratique pour sauver la Terre en 2011.aug 4

Henry Augier, docteur d’État, maître de conférences honoraire à la faculté des sciences de Marseille Luminy, professeur honoraire à l’École nationale des travaux publics de l’État, a été à la tête d’un laboratoire spécialisé dans l’étude des nuisances.

Il a également été responsable de l’enseignement de la molysmologie (science des pollutions) à l’université de la Méditerranée et expert consultant international sur les problèmes de pollution et de protection de la nature.

Il est engagé dans de nombreuses actions de sauvegarde de notre environnement.

Au cours de certains conflits, il fut même surnommé « l’Ayatollah de l’environnement » par des personnalités politiques qu’il gênait. Ce qualificatif outrancier traduit bien sa détermination à dénoncer les pollueurs et à œuvrer pour une meilleure qualité de vie.

 

www.sangdelaterre.fr

978-2-84730-016-1

Format : 17 x 24 cm

Nb pages : 304

Prix : 23,90 €

 

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16 juillet 2012 1 16 /07 /juillet /2012 10:08

Les ouvrages sur le monde sous marins ne manquent pas.

Mais il est important pour le Musée Dumas de citer ceux qui font revivre des pages d’histoires.

Ce qui est le cas pour ce dernier  dont le titre en lui même est suffisamment évocateur :

« De l’Archéonaute à l’André Malraux ».arcliv 1

Le musée Dumas ne peut que s’en réjouir car il y apparait notre Président Daniel Alsters qui, alors qu’il était major dans la marine nationale,  à été le commandant de l’Archéonaute pendant trois ans.

Si ce rappel historique est mythique tout au long des pages, il y figure aussi de magnifiques images réalisées par Teddy Seguin, un reporter photographe de haut niveau, auteur des clichés qui figurent illustrant le texte.

C’est aussi lui qui nous explique que :

ü Née dans le pas des pionniers qui, en 1943, avaient inventé le scaphandre autonome et, en 1952, avaient inauguré en rade de Marseille la première étude au monde d'une épave immergée, l'archéologie sous-marine a vu le jour en France, en 1966, lorsqu'André Malraux, alors ministre des Affaires Culturelles, décida de créer au sein de son ministère un Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (DRASSM).arcliv 2 Doté dès 1967 de L'Archéonaute, premier navire de recherche archéologique au monde, ce service, qui, depuis sa base de Marseille, exerceson activité sur près de 11 millions de kilomètres carrés, de l'Atlantique au Pacifique et de l'Indien à la Méditerranée, s'est au fil des décennies imposé comme le chef de file planétaire de la discipline. En témoignent les mille cinq cents sites sous-marins d'ores et déjà analysés et étudiés par les archéologues français, tant en France qu'à l'international où leur expertise est souvent sollicitée. À l'heure où un nouveau navire de recherche, l'André Malraux, est en passe de venir remplacer au DRASSM un Archéonaute atteint par la limite d'âge après avoir sillonné quarante années durant la Méditerranée, il nous a paru opportun d'explorer la mémoire de ces décennies prodigieuses qui ont vu naître et se perfectionner un métier.arcliv 3 Consigner, jour après jour, la naissance de l'André Malraux au sein du chantier naval H2X de La Ciotat et l'illustrer des portraits et des explications des hommes qui le construisent et l'ont conçu, revenir symétriquement sur la genèse de L'Archéonaute, dont il est l'héritier, et raconter les lieux, les hommes, les anecdotes secrètes qui ont fait l'histoire de l'archéologie sous-marine, arpenter à cette occasion l'histoire célèbre ou méconnue d'une quarantaine d'épaves qui matérialisent les Très Riches Heures de la discipline, depuis ses premiers balbutiements au Grand Congloué, à l'aube des années 1950, jusqu'à la mise en chantier du Malraux, mêler en un mot l'ancien et le nouveau, saluer l'héritage, évoquer les enjeux, tel est le propos de cet ouvrage.

                          Crédit photographique Teddy Seguin.

 

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17 juin 2012 7 17 /06 /juin /2012 08:40

VM histoire plongée 17 juin

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4 juin 2012 1 04 /06 /juin /2012 17:13

                             Découvrir « La Provence immergée »ajc 1

Jacques Collina-Girard plonge à Marseille et en Provence depuis plus de trente ans aux Club du Vieux Plongeur puis de Marseille côté Mer, (http://mcmplongee.fr/). Universitaire et scientifique, il enseigne la géologie et la préhistoire à l'Université de Provence (UMR6636 du CNRS). Dans le cadre de plongées professionnelles, il a pu participer, entre autres, en 1982 et 1994 aux missions d'étude de la célèbre grotte Cosquer, grotte préhistorique à peintures, à moitié immergée, dont l'entrée est située entre Marseille et Cassis à -37 m.ajc 2

Cet ouvrage original et très complet est une réponse, par un scientifique et un enseignant, à la curiosité  des plongeurs et des amoureux de la mer, sur le cadre naturel qu'ils fréquentent : géologie, préhistoire, météorologie, faune, utilisation locale, quelquefois culinaire, des ressources marines.

Ce livre constituera aussi, pour les sportifs, un guide détaillé  des plongées situées, en grande partie, sur le territoire du futur Parc National des Calanques. Ces sites sont présentés à travers des cartographies précises, jusqu'ici sans équivalentes, accompagnées de suggestions d'itinéraires pensés à travers plusieurs milliers de plongées d'exploration et d'encadrement sur des lieux qui figurent parmi les plus spectaculaires de Méditerranée et sur lesquels l'auteur donne des informations personnelles ne figurant pas dans les guides de plongées actuellement disponibles.ajc 3Sommaire

Provence : géologie des paysages sous-marins

Marseille, Cassis : la grotte Cosquer et autres paysages spécifiques

Marseille, reine de la plongée

L'Estérel, Porquerolles : les roches de la côte méditerranéenne

Calanques : les paysages du calcaire

Les arches sous-marines et la plongée

Grottes et galeries karstiques

Paysages de lapiaz

Champs de dolines et poljés

Paysages immergés : les fleuves souterrains, de Port Miou à Bestouan

Fracturation des roches et paysages

Les calanques : variations anciennes du niveau de la mer

Mistral et météorologie de la région marseillaise

Navigation, géologie et température des eaux à Marseille

Printemps sous-marin : l'algue asparagopsis

Liches, daurades, dentis et sars tambours en été

Les barracudas en automne méditerranéen

Automne et hiver sous la mer Méditerranée, avec les bars

Épaves et anthropisation des paysages sous-marins

Géologie et lithologie de la région marseillaise

En savoir plus sur la Provence et sa géologie 

Pour se procurer l’ouvrage

Éditions des Presses du Midi

lespressesdumidi@free.fr

Tél. 04 94 16 90 20

Ouvrages du même auteur, accessibles à tous :
COLLINA-GIRARD, J (2009).-L'ATLANTIDE RETROUVEE ? Enquête scientifique autour d'un mythe, Belin-Pour la Science éditeur, Collection Regards, 223 pages.
COLLINA-GIRARD, J (1998).-LE FEU AVANT LES ALLUMETTES, EXPERIMENTATION ET MYTHES TECHNIQUES, Collection Archéologie expérimentale et Ethnographie des techniques, XIV,  Editions de la Maison des Sciences de l'homme, Paris. 150 pages dont 24 ill. et 16 pl. en couleurs.

 

 

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Musée Frédéric Dumas

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  • Cette Lettre du Musée Frédéric DUMAS prend la suite de celle éditée, la première fois, imprimée, en 1995.
Elle va vous tenir au courant des activités de notre association.
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